Kaguya Sama – Love is War T.1&2 – Nouvelle comédie romantique à suivre !

Quand on est fan de manga et qu’on traîne sur les réseaux sociaux, on entend forcément parler de certains titres bien avant la perspective de leur arrivée en France, que ce soit du fait d’un gros succès rencontré au Japon, ou à cause d’une forte attente de la part du public hexagonal. Et il y a certains titres qui finissent par être réclamés à corps et à cri à longueur de temps, au point où chaque annonce de licence de la part d’un éditeur est suivie par une vague de « Vous pouvez aussi éditer XXX en France ? ». Kaguya-Sama fait clairement partie de ces titres, et c’est ce qui a fait que je guettais l’arrivée de la série après que Pika l’ait annoncé pour ce début d’année.

Ainsi, le train de la hype est toujours le plus fort puisque de prime abord, ce n’est pas le genre de série vers laquelle je serai allé. Mais intrigué par toute cette effervescence, j’ai tenu à me faire un avis. Je remercie au passage Pika de m’avoir envoyé les deux premiers tomes dans leur somptueux kit presse, qui semble témoigner du fait qu’ils croient beaucoup en cette licence. Ils ont également proposé chaque chapitre du premier tome en lecture provisoire sur leur site, mais seul le premier reste visible via ce lien.


Resituons la série

Pour commencer, il n’est pas inutile de resituer la série ainsi que son succès au Japon. Kaguya-Sama est un seinen prépublié depuis 2015, dans un premier temps dans le Miracle Jump de la Shueisha. Ce magazine mensuel est plutôt jeune puisqu’il n’a que 10 ans de vie à son actif. Il est notamment connu pour la prépublication de Terra Formars. Cependant, au bout de quelques chapitres, le titre est transféré dans le Weekly Young Jump, lui donnant davantage de visibilité. Une comédie romantique publiée en tant que Seinen n’est pas une première, mais c’est suffisamment original pour être signalé. La série est toujours en cours avec 21 tomes parus au Japon.

Fort d’un certain succès, il est adapté en un anime dont la troisième saison a déjà été annoncée, mais aussi en film live. En France, l’anime est diffusé sur Wakanim et a contribué à créer des attentes autour d’une éventuelle publication de la série, jusqu’à ce que Pika exauce le souhait des fans. La tomaison déjà conséquente au Japon permettra à l’éditeur de proposer un rythme de sortie qu’on imagine soutenu, puisque les deux premiers tomes ont droit à une sortie conjointe le 24 mars, alors que le troisième est annoncé pour mai. Enfin, la série a connu un spin-off au contenu érotique publié entre juin 2018 et juin 2020, pour un total de quatre volumes, ainsi qu’une seconde série dérivée au format 4 cases, en 3 volumes.

Et cette palanquée d’adaptations et de séries dérivées, vous vous en doutez, est le corollaire d’un succès grandissant, puisque la série a dépassé en janvier 2021 les 14 millions de volumes imprimés. On peut supposer que toutes ces raisons cumulées ont contribué à faire monter la hype en France. Mais tout ceci est avant tout lié à un élément tout bête : l’excellente qualité du manga !

Mon avis sur les deux premiers tomes

Au sein du Bureau des élèves de la prestigieuse académie Shûchiin, Kaguya Shinomiya, la vice-présidente, et Miyuki Shirogane, le président, sont l’élite de l’élite. Tout le temps qu’ils partagent ensemble laisse à penser qu’ils se plaisent et pourtant… six mois plus tard, rien ne s’est passé entre eux ! L’obstacle : leur fierté qui ne leur permet pas d’être le premier à déclarer sa flamme.
La bataille pour faire avouer l’autre commence maintenant !

L'amour est une guerre

Le résumé situe bien l’intrigue, même si parler simplement de fierté qui les empêcherait de déclarer leur flamme n’est pas tout à fait la réalité. Les deux personnages voient la vie de couple comme une relation de domination où la personne qui se dévoile la première est condamnée à être sous la botte de l’autre. Une vision des choses qui n’est pas la plus saine, mais qui, à mon avis, va finir par évoluer au fil du récit (avec la perspective que les deux personnages se déclarent en même temps à la fin… Nous verrons bien si j’ai vu juste dans quelques années !).

Toujours est-il que ce qui a commencé comme des « on dit », où des élèves jasaient sur la possibilité que Kaguya et Shirogane soient en couple, a donné à chacun l’idée de séduire l’autre, par jeu au départ, avant que l’absence de réussite de l’entreprise finisse par créer des sentiments sincères et réciproques au fil du temps. Aucune révélation de ma part ici, puisqu’il s’agit du postulat énoncé dès le premier chapitre.

Nous commençons donc l’histoire alors que Kaguya et Shirogane sont clairement amoureux l’un de l’autre, mais ne peuvent pas se déclarer car ils refusent de « perdre » cette guerre des nerfs sentimentale. Ainsi, ils vont profiter de chaque situation pour mettre en place des stratégies afin de séduire l’autre et le/la forcer à avouer son amour… ignorant totalement qu’ils partagent déjà des sentiments réciproques.

Shirogane et Shinomiya

De ce fait, vous l’aurez peut-être compris, le récit adopte une structure répétitive où chaque chapitre est l’occasion d’une situation spécifique, qui sera toujours exploitée de la même façon, où Kaguya et Shirogane tenteront d’utiliser la situation à leur avantage afin de faire plier l’autre. Et si au départ j’avais des craintes vis-à-vis de la répétitivité de la structure, ayant peur de rapidement me lasser, il n’en est rien, tout simplement car l’auteur maîtrise vraiment son sujet, arrivant à constamment renouveler ses situations bien que la structure narrative reste globalement similaire d’un chapitre à l’autre.

Et surtout, il y a dans son écriture un humour tellement décapant, qui fait mouche en toute circonstance, qui fait que je n’imagine vraiment à aucun moment la lassitude arriver. Mais avant d’aborder ce point fondamental, précisons également qu’il arrive à donner du corps à son univers clos, l’académie Shuchiin, notamment en mettant en avant la vie dans ce lieu, donnant un peu de liant à tout ça. Un exemple tout bête : lors d’un chapitre, un lycéen demande à Shirogane des conseils pour séduire une fille qu’il aime. Et quelques chapitres plus tard, c’est la jeune fille qui va parler à Kaguya de sa relation et des sentiments qu’elle a pour ce garçon avec qui elle sort.

Ainsi, en ne se focalisant pas exclusivement sur la relation entre Kaguya et Shirogane, l’auteur apporte de la vie à cette académie. Cela passe aussi par des événements développés sur plusieurs chapitres, comme une rencontre avec des lycéens français, et la présentation de personnages qu’on imagine récurrents, notamment le directeur de l’établissement qui semble ne pas porter Shirogane dans son cœur. Tout ceci sans parler de Chika Fujiwara, la secrétaire du bureau des élèves, et troisième personnage le plus important de l’histoire à ce stade, particulièrement bien écrite, et un des gros atouts du récit.

Tout ceci étant resitué et vous donnant une bonne idée de la structure et des enjeux du récit, on peut passer désormais au point qui m’a le plus conquis : l’humour.

Le titre m’a littéralement fait hurler de rire, et la structure répétitive de l’histoire contribue à l’efficacité de l’humour, avec un côté répétition qui fonctionne très bien sur ce point. Le potentiel comique des situations vient en grande partie du travail d’écriture des deux personnages, et du côté un peu outrancier de la situation de base, à laquelle on adhère pourtant très vite.

L’idée principale est que chaque chapitre met en place une situation que Kaguya et Shirogane vont chercher à exploiter soit pour faire tomber l’autre dans ses filets, soit au contraire pour éviter d’être mis en difficulté. De notre côté, nous partageons les pensées des deux personnages, ce qui permet de voir un décalage se créer entre les plans qu’ils se montent dans leur tête et la réalité des situations. La moindre question, le moindre geste est sujet à interprétation de leur part, créant des prises de chou extrêmes qui contribuent à rendre parfois hilarants les réflexions de chacun.

Et si cette structure et ce mécanisme d’écriture se répète chapitre après chapitre, c’est tellement maîtrisé et il y a toujours des nouvelles idées tellement bien vues pour exploiter cet aspect que l’humour fait toujours mouche chez moi. Et de ces prises de tête constantes découlent des réactions excessives de la part de Kaguya et Shirogane qui renforcent encore l’aspect humoristique global.

C’est également là que la présence de Fujiwara, la secrétaire du BDE, est essentielle. Elle est présente quasiment tout le temps, et est le seul membre du trio à penser de façon simple et sincère. Cet aspect renforce encore une fois le côté comique des réactions des deux personnages principaux, mais apporte aussi une fraîcheur à la série dans la façon d’appréhender les relations. Et on voit que son rapport bien plus naturel aux autres, dépourvu de tout calcul, crée un énorme contraste avec Kaguya en particulier, qui se demande parfois si elle n’aurait pas le potentiel pour séduire Shirogane, occasionnant des formes de jalousie qu’elle tente de cacher.

Force de frappe

Ainsi, en plus d’être vraiment très drôle, le traitement de cette histoire d’amour un peu particulière la rend aussi assez touchante par moments, car on peut finalement facilement se projeter dedans. Si la vision propre aux deux personnages des relations amoureuse est compliquée à partagée, on peut cependant se reconnaître dans l’aspect prise de tête constante sur les gestes à adopter et l’interprétation de ce que fait l’autre. D’autant plus que les personnages sont ici adolescents, et donc à un âge ou cette façon d’appréhender les relations est finalement assez classique. 

Et de ce fait, malgré le côté vraiment over the top de l’ensemble, on y trouve quand même une forte authenticité qui arrive de ce fait à faire poindre déjà quelques émotions devant les relations de ces deux personnages. Et si l’aspect émotionnel n’est clairement pas le cœur du propos (en tout cas pas pour le moment), je tenais à le souligner.

Tout comme il est également appréciable de signaler que dans cette romance destinée à un lectorat essentiellement masculin (encore une fois, je ne suis pas fan de cette vision des choses, vous pouvez y aller mesdames !) qu’il n’y a pas une once de fan service, même lors d’un gag où Kaguya constate qu’elle ne risque pas de faire forte impression à la plage en terme de poitrine face à Chika Fujiwara. Un très bon point pour le titre qui n’a pas besoin de ça pour se démarquer.

Pour finir, un petit mot rapide semble nécessaire concernant l’esthétique. Si tout est ma foi très propre, on ne peut pas aller jusqu’à dire que le mangaka fasse preuve d’une puissance et d’une originalité visuelle folle. Mais ça ne pose aucunement soucis, car c’est tout à fait agréable à regarder et surtout, c’est vraiment l’écriture qui fait la différence. On appréciera quand même quelques idées de mise en scène astucieuses, notamment dans les quelques regards adressés au lecteur par les personnages pour s’accorder à leurs pensées qui semblent parfois nous être directement adressées. Du très bon travail sur ce point donc.

En conclusion

Vous l’aurez certainement compris, ces deux premiers tomes de Kaguya-Sama ont été pour moi un véritable délice ! Sa structure narrative répétitive me faisait quelques craintes de prime abord, mais force est de constater qu’elle a été pensée par l’auteur et que, bien loin d’être un défaut, elle est au contraire au cœur du traitement humoristique de son histoire. Et elle fait finalement des merveilles sur ces deux premiers tomes qui font toujours mouche en terme d’humour, étant même parfois à hurler de rire.

De plus, le développement des trois personnages principaux et du cadre global du récit est déjà vraiment plaisant, contribuant à renforcer l’intérêt de la lecture. Les situations ne font que se renouveler, permettant de ne jamais ressentir de lassitude. Il faudra simplement voir où Aka Akasaka souhaite amener son récit sur la durée, car avec une série dépassant déjà les 20 tomes au Japon (il semblerait qu’on approche de la fin), j’imagine qu’il va faire considérablement évoluer son récit pour ne pas tourner en rond.

Ce qui est certain, c’est que ces deux tomes sont passés à une vitesse folle, les chapitres et situations s’enchaînant sans qu’on s’en rende compte, au point où je n’étais pas encore rassasié une fois arrivé à la fin. De ce fait, j’attends avec une impatience non dissimulée le troisième tome prévu pour le 19 mai. On a vraiment affaire là à une excellente pioche pour Pika, qui se hausse sans soucis parmi les séries à très très gros potentiel de 2021. Nul doute qu’on en reparlera au cours de l’année !

42 commentaires

      • 😀

        Déjà tu dis que c’est drôle et plein d’humour alors qu’on sait bien que t’en as pas…

        Plus sérieusement c’est une rom-com en milieu scolaire et bon j’en ai lu quelques unes et c’est plus trop ma came.

        Puis 20 +tomes, ça me refroidit encore un peu plus…

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      • Je comprends tous ces points et j’aurai bien du mal à te contredire.

        Au moins j’ai trouvé le ton très different de séries comme Quintessential Quintuplets ou We Never Learn (j’avoue ne pas avoir une grande connaissance du genre).

        Mais en effet, vu qu’il me fait rire moi, il y a peu de chance que des personnes moins fines et subtiles y trouvent tout à fait leur compte, surtout si elles n’aiment pas Dr Stone !

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      • QQ et WNL c’est finalement ultra classique comme rom-com.

        QQ je vais te le résumé en 2 ligne:

        C’est love Hina monté comme un épisode de Columbo. On sait des le départ la fin et ça dilue pour savoir comment. Et encore dans Love Hina on le sait aussi très vite avec la promesse toussa toussa. Donc pour l’originalité cité par beaucoup meh…

        Venant d’un gars qui ne rit pas sur plein de titres marrants, ça me fait doucement rigoler.

        Pour Dr Stone, sur les 4 tomes que j’ai lu, ça a pas vraiment décollé, c’est pas vraiment bon signe pour un Nekketsu selon moi :S

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      • Je cite un gars pas mauvais qui un tient un blog et qui aime beaucoup Dr Stone :

        « et c’est toujours aussi original tout en ayant ce petit côté familier du fait qu’on garde les codes classiques du shonen nekketsu »

        Son blog c’est « L’apprenti Otaku », je sais pas si tu connais :p

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      • Du coup je pense que ça dépend clairement de la définition qu’on donne à nekketsu. Le concept de la série change pas donc ça resterait nekketsu pour toi. Disons que la bagarre est quand même remplacée par le délire autour des inventions et de la science, donc on reste dans la même idée même si je trouve que c’est un délire un peu different.

        Maos c’est pareil pour L’Attaque des Titans, il me semble que tu ne le considère pas comme un nekketsu et je comprends parce qu’on s’éloigne de nombreux codes (même si certains considèrent que Eren est au début le cliché du héros de nekketsu, j’ai encore du mal à trouver en quoi à part qu’il est orphelin), mais ça reste quand même la grosse bagarre avec des antagonismes relativement clairs, même si on vante le non manichéisme de la série.
        et du power up à tire larigot pour Eren.

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      • Nekketsu n’est pas synonymes de bagarre hein.
        Hikaru no Go est un pur nekketsu et pourtant y’a zéro bagarre dedans par exemple.
        Dans LADT y’a des codes du nekketsu mais le développement est différent au final. Quasi tous les shonene reprennent qques codes du genre mais plus simplement 9.9/10 des shonen du Jump sont des nekketsu…

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      • Ben du coup je suis un peu dans le flou, j’avoue.
        Et comme certaines personnes utilisent le mot shonen comme synonyme de nekketsu, et nekketsu comme synonyme de bagarre, j’ai du mal à m’y retrouver.
        Du coup faudrait me faire un point. T’as pas fait un article pour définir bien tout ?

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      • Non pas encore d’articles dédié sur les différents genres dans le shonen. Mais tu me donne une idée 😛 j’en parle un peu dans mon article sur le shonen par contre.

        Pour résumer, shonen c’est avant tout une cible.
        Dedans y a le nekketsu, la rom com, le furyo, le gakuen etc.qui sont des genres.

        GTO est un Gakuen, QQ une rom-com, Tokyo Revendeurs est un Furyo p.ex mais tous sont des shonen.

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      • Gakuen c’est milieu scolaire simplement.

        Pour le Nekketsu c’est quand ca englobe : une quête initiatique, l’amitié first, le goût de l’effort et de l’entraînement, l’esprit de groupe et le dépassement de soi. Avec des poncifs comme orphelin/pas de parents présents, l’ennemi qui devient ami etc.
        Certains pouvant passer d’un genre a l’autre

        Mais comme les cibles Shonen, shojo, seinen, beaucoup ne connaissent pas bien et font un melting-pot de tout. Faut avouer que c’est pointu a ce niveau aussi…

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      • En effet. Slam Dunk est un Nekketsu p.ex.
        La découverte du Basket par Sakuragi est sa quête initiatique et pour le dépassement de soi (et le reste) vu que tu kiffes je pense que t’es au courant…
        Y’a pas de thème précis pour un Nekketsu. C’est souvent la même construction de l’histoire et la baston qui revient mais c’est pas que ca non plus.

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      • Pour la chouette conversation, exactement !

        Et pour le fait que Dr Stone est un nekketsu, dans ce cas je dirai que oui, mais avec la volonté de détourner (gentiment) quelques codes, en particulier via le personnage de Senku qui semble justement remettre en question les valeurs associées au nekketsu, bien qu’elles soient présentes dans le manga.

        Mais comme je pense qu’on peut-être ancré dans un genre tout en essayant d’en détourner quelques éléments, ça n’empêche pas Dr Stone d’être, de fait, un nekketsu.

        Voilà donc ma conclusion.

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    • Tant mieux, c’est déjà ça. En l’écrivant je me suis douté que ça ne serait pas une lecture pour toi vu que tu dis ne pas trop aimer la romance.
      Mais moi je suis très fleur bleue, je regarde Love Actually et Grey’s Anatomy voyez vous !

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      • Ah mais je regarde aussi grey’s anatomy depuis des années XD j’ai commencé quasi quand la saison 1 est arrivée c’est d’ailleurs la seule série que je regarde en vf parce que j’ai grandi avec.
        Après je préfère l’aspect médical et drama aux relations amoureuses et j’étais ultra fan de Christina. Ça m’a pas empêché de pleurer pour Mark et Derek 😭 donc je ne mets pas tout dans le même panier, j’aime aussi Otaku Otaku qui parle de romance geek mais voilà je suis très sélective.

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      • Derek j’étais ravi qu’il meurt enfin, je peux pas encadrer Patrick Dempsey 🤣
        Ca fait plusieurs années que je n’ai pas regardé mais comme j’ai appris que Karev avait quitté la série, elle n’a plus d’intérêt à mes yeux 😅

        Par contre moi c’était vraiment toutes les histoires d’amour et compagnie qui me plaisaient, même si j’aurai apprécié que de temps en temps les choses se passent bien, mais visiblement c’est pas possible chez Shonda !

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      • Bin Derek j’ai souvent eu envie de lui coller des claques mais l’episode de sa mort c’était quand même assez dingue. Je me suis mise à chialer comme si je le connaissais personnellement quoi. Shonda Rimes a toujours été super douée pour me tirer les larmes.
        Et yep je pense comme toi après le départ de Yang a déjà beaucoup entamé cet intérêt (elle aussi j’ai pleuré son dernier épisode il était trop bien !) surtout que Maggie me saoule et Amelia laisse tomber j’ai autant envie de la gifler que son frère donc il restait vraiment Karev.. Je vais voir ce que ça donne ensuite sans lui mais j’y crois pas trop 😅 après j’aime aussi Bailey 🤔 je trouve son évolution tellement géniale !! J’attends la prochaine saison qui arrive fin du mois sur disney+.

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      • Ah ouais, Bailey est cool depuis le début. Je crois que son mari est dans la serie de pompiers qui se passe dans le même univers d’ailleurs (ce qui me fait penser que je regardais Private Practice, qui a eu le bon goût de ne pas s’éterniser.

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      • Oui Station 19 ! Mais son mari je l’aime moins justement xD Je n’ai du coup pas regardé les séries dérivées, même Private Practice parce qu’Addison me saoulait mais plus j’avançais et plus j’avais finalement de la compassion pour elle… Bon sang je me rends compte qu’on peut échanger des heures sur cette série ^^’

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      • George avait du potentiel mais Izzy j’avoue je la détestais comme rarement j’ai détesté un personnage ^^’ Pour moi la série a perdu énormément de saveur après Yang parce que je m’identifiais beaucoup à elle, je la trouvais très bien construite et très intéressante, tout comme Alex d’ailleurs. Ce sont les deux personnages les plus marquants pour moi ! Avec Bailey en 3e.

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      • Oui, ma femme adorait aussi Christina Yang, j’avais un peu plus de mal mais je l’aimais bien quand même. Puis Owen son mec est aussi très cool, même si je préfère l’acteur dans la série Rome. Sacré pépite cette série d’ailleurs !

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  1. Comme toi au début, j’avais peur du côté répétitif, mais en fait cela est passé sans aucun souci, l’histoire est bien fait et on alterne les « affrontements » ce qui fait qu’on a pas l’impression de lire toujours la même chose 🙂

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