Parfois, on peut se découvrir une fascination pour le style d’un ou une mangaka qui est pourtant considéré comme très conventionnel par la majeur partie du lectorat. C’est en tout cas le sentiment que j’ai avec Nakaba Suzuki, qui m’a tout de suite accroché avec les premiers tomes de Seven Deadly Sins, découvert l’année dernière en ce qui me concerne. Avec son trait particulièrement identifiable et sa façon d’appréhender son travail, j’ai tout de suite été intrigué par cet auteur, si bien que j’ai eu envie de me pencher sur les autres titres qu’il a proposé. Si Kongoh Bancho est en arrête d’impression chez nous, Blizzard Axel, série sportive assez courte (6 tomes doubles) est toujours disponible chez nobi nobi. J’en ai donc profité pour découvrir cette série, qui aura réussi à me surprendre du début à la fin par ses qualités esthétiques (attendues compte tenu de l’auteur), mais aussi d’écriture. Voyons donc comment cette série aura su, à l’image de son personnage principal, aller au-delà de mes attentes !
Je précise que la série m’a été envoyée par nobi nobi, que je remercie. Vous trouverez sur le site de l’éditeur un extrait du premier tome via ce lien.
Resituons la série et son auteur
Étant fasciné par Nakaba Suzuki, il convient de parler un peu du parcours de l’auteur et de comment Blizzard Axel s’inscrit dedans, d’autant plus que je décerne une forme de cohérence logique dans son oeuvre et, à minima, l’influence de ce qu’il voulait faire par la suite dans son travail sur ce titre. En effet, Nakaba Suzuki est un mangaka qui a toujours voulu dessiner de la fantasy mais son directeur éditorial lui a expliqué à ses débuts qu’il n’était pas encore assez expérimenté pour cela (voir cet entretien dans Le Figaro). Il a donc souhaité aborder deux genres en particulier, la comédie et le sport, afin de travailler sur l’expressivité des personnages et sur les mouvements. En découlent un certain nombre de séries, à la longueur variable, à commencer par Rising Impact, un manga de golf prépublié dans le Weekly Shonen Jump de 1999 à 2003 (inédit en France). Après quelques séries courtes, il se lance finalement dans Blizzard Axel en 2005, achevant la série en 11 tomes dans son format d’origine en 2007.
On peut imaginer que la série a connu un joli succès puisqu’elle a eu droit à une réédition dix ans plus tard, en 2018, qui a servi de base à l’édition française très élégante que nobi nobi nous a proposé. Enfin, c’est quelques années après que Suzuki réalise son rêve de toujours en débutant Seven Deadly Sins, sa série la plus longue (41 tomes) et au plus grand succès (plus de 37 millions de volumes imprimés). Me concernant, à aucun moment cette évolution dans la carrière de l’auteur n’est sortie de ma tête quand j’ai lu Blizzard Axel, car on trouve un certain nombre d’indices indiquant l’importance de la fantasy médiévale et de l’action dans la suite de la carrière du mangaka.
Ainsi, en plus du plaisir au premier degré lié à l’histoire qui nous est racontée, il y a également celui de voir l’évolution du travail d’un artiste, qui propose d’ailleurs une mise en abyme de son métier au travers du parcours de son héros et de son rapport au patinage artistique. C’est d’ailleurs un aspect que j’apprécie tout particulièrement, car j’aime ressentir dans mes lectures le fait que les auteurs se questionnent sur ce qu’ils font.
Vous l’aurez donc compris, il y a déjà une certaine force émotionnelle et thématique dans la façon dont Blizzard Axel devient, par la force des choses, le témoignage de l’évolution de Nakaba Suzuki. Nous reviendrons un peu plus en détails sur cet aspect au fil de l’article, mais dans un premier temps, voyons un peu de quoi il est question.
De quoi ça parle ?
Et donc, qu’est-ce que cette série nous raconte ? Nous suivons le jeune Fubuki Kitazato, dernier enfant d’une fratrie de quatre, qui n’a aucun talent particulier contrairement à ses trois frères qui se distinguent chacun dans un domaine en particulier. De ce manque de talent découle un désintérêt de ses parents à son encontre, si bien que le jeune garçon devient au fil des ans un petit voyou, se battant fréquemment et faisant plein de bêtises dans l’espoir d’attirer l’attention de ses parents, en vain.
Mais par un coup du hasard, il se retrouve sur une piste de patinage artistique et se révèle avoir de sacrés prédispositions pour la discipline, ce qui va braquer les regards sur lui. Ainsi, il va se prendre de passion pour ce sport, car il lui permet d’enfin se faire remarquer. S’en suivra le parcours classique d’un shonen sportif, où le jeune homme va entrer en école de patinage et suivra un entrainement intensif afin de tirer partie de ses prédispositions exceptionnelles et se hisser au sommet de la discipline… À 13 ans !
Il faut en effet le préciser, si le titre traite la pratique sportive avec un grand soin, il ne faut pas chercher une approche vraiment réaliste, au risque d’être déçu. Au-delà de l’évolution fulgurante de Fubuki qui semble un peu trop abrupte, le mangaka va verser dans un certain excès dans la représentation du sport, dans un souci d’impact esthétique et émotionnel. Car il est clair que le souci principal de Suzuki est de proposer un spectacle de qualité, soigné et sincère à son public, exactement de la même façon que Fubuki met tout son cœur dans ses numéros sur la piste.
Ainsi, le titre est structuré de façon assez simple, alternant entre les séquences d’entrainement, les moments tranche de vie, et les compétitions, au risque de créer un sentiment de répétition, qui passe malgré tout fort bien, notamment car la série est assez courte pour que la lassitude n’intervienne pas, mais aussi parce que le mangaka gère particulièrement bien l’évolution de son récit et la montée en intensité globale, élément indispensable pour un manga sportif.
Mais au-delà du sport, j’ai d’emblée été saisi par le travail d’écriture concernant les personnages, Fubuki Kitazato en tête. Son rapport à ses parents est vraiment intéressant et permet d’aborder une thématique qui me semble très importante : les blessures de l’enfance et la recherche de figures d’attachement. Si les parents de Kitazato sont clairement défaillants, il trouvera une figure paternelle auprès de l’entraîneur George Mckenzie, personnage fondamental de l’histoire qui a, lui aussi, une histoire familiale et personnelle compliquée. Dernier personnage en conflit avec une figure parentale, la jeune Rikka Shirahara, qui finira par patiner en couple avec Kitazato.
Mais au-delà de cette thématique passionnante qui sera traitée soit frontalement, soit en filigrane tout au long du récit, il y a aussi et surtout cette métaphore du travail de mangaka qui passe par le rapport du héros au patinage.
Le patinage artistique comme métaphore du travail de mangaka
L’idée de mettre en scène un personnage obsédé par le fait de se faire remarquer est déjà un indice selon moi de la façon dont la série a une portée métaphorique et met en perspective le travail de mangaka (et plus globalement, de raconteur d’histoire). Car si Fubuki est obsédé dans un premier temps par le fait de se faire remarquer, on constate rapidement que le patinage devient rapidement pour lui un moyen de communiquer des choses profondes au public, et que c’est un de ses atouts, en plus de ses prédispositions physiques.
Dans le manga, le patinage est vu comme la mise en perspective des dimensions techniques et expressives du sport, et George Mckenzie est obsédé par cet aspect artistique, considérant que la technique doit être à son service. Il s’agit pour moi d’une mise en abyme du travail de mangaka et de l’importance de la technique chez Nakaba pour procurer des émotions et transmettre des idées. Cet aspect est d’autant plus évident que pendant les prestations, l’emphase est beaucoup mise sur la façon dont les personnages arrivent à transporter le public et leur faire ressentir les émotions liées aux numéros qu’ils interprètent (encore une fois, ce point étant un des atouts de Fubuki, qui lui permettra de battre des patineurs techniquement plus affûtés).
Un autre élément particulièrement parlant vient du fait que la pratique du patinage en couple est centrale dans le récit. Très rapidement, la jeune Rikka se retrouve face à un mur, n’arrivant pas à dépasser un certain niveau en individuel, la contraignant à se focaliser sur le patinage en couple. Elle se retrouvera à patiner avec Fubuki, permettant évidemment de mettre en scène une romance fort bien traitée, dans laquelle le mangaka n’en fait pas trop.
Mais surtout, cela permet d’aborder le patinage différemment, toujours en perspective avec la façon dont Suzuki travaille. Car, il faut le préciser, une des particularités de ce mangaka est qu’il n’embauche pas d’assistants, et fait absolument tout avec sa femme (qui explique d’ailleurs leur organisation de travail dans la postface du premier tome). Ainsi, s’il est le seul auteur crédité, c’est véritablement de leur travail en couple et de la façon dont chacun saisit ce que fait l’autre que naissent les mangas de l’auteur. De ce fait, je ne peux pas ne pas voir dans cette importance accordée à la pratique en couple un reflet de la façon dont Suzuki travaille, et une façon de rendre justice à l’investissement de sa femme sur ses (leurs ?) mangas.
Et surtout, cette mise en abyme n’est pas insérée au forceps, mais s’incarne naturellement dans ce que le manga raconte. Comme je l’ai dit, la dimension expressive et artistique du patinage est au cœur du titre, avec de vrais questionnements des personnages sur les façons d’interpréter au mieux leurs numéros et ce qu’ils sont sensés raconter et transmettre. Car chaque numéro est joué sur une musique, qui donne le ton de la séquence. D’ailleurs, j’ai très rapidement eu l’idée de lire les séquences de patinage en mettant la musique qui se joue à chaque numéro en fond sonore, ce qui renforce vraiment l’impact de ces scènes, par ailleurs au cœur du projet esthétique du mangaka.
Parlons un peu du style
Je l’ai dit au début de mon article, Nakaba Suzuki a un style qui lui est propre, reconnaissable au premier coup d’œil, et qui me parle tout particulièrement. J’ai également précisé qu’il appréhendait le manga sportif en partie comme un exercice afin de travailler les postures et l’expressivité des personnages, et sur ce point, Blizzard Axel va bien plus loin que le simple entrainement.
Au-delà du fait que ces deux aspects sont des éléments essentiels du projet esthétique de la série, parler d’entrainement ne rendrait pas justice à ce que l’auteur a accompli tant il fait preuve d’une grande virtuosité dans la façon de mettre en scène les performances des athlètes. Si on peut faire le petit écueil de la répétitivité dans les techniques utilisées pour mettre en scène ces numéros, le fait est que c’est d’une efficacité redoutable dès le début, et que Suzuki arrive quand même à proposer plein de petites idées qui renouvellent le plaisir esthétique, en plus d’épouser les enjeux de chaque type de morceau.
Je pense notamment à une représentation qui joue énormément sur la force émotionnelle de Fubuki et Rikka, qui met parfaitement en valeur l’expressivité de leurs visages et de leurs corps (j’adore tout particulièrement le travail sur les mouvements des mains), ou encore un numéro en couple qui joue sur l’effet miroir, où le découpage épouse cet effet miroir. Je reste volontairement évasif car un des plaisirs de la lecture vient de la découverte de toutes les petites idées de l’auteur pour véritablement retranscrire les spécificités de chaque numéro.
Et il y a aussi un soin constant accordé à la décomposition des mouvements des personnages, mettant en valeur la qualité de leurs chorégraphies, et des choix de cadrages audacieux que l’on retrouve dans des mangas ultérieurs tels que Haikyu!! ou Welcome to the Ballroom, jouant à fond sur les perspectives pour proposer des postures ultra impactantes visuellement.
Et si j’insiste tout particulièrement sur cet aspect, c’est parce que le manga sportif doit, selon moi, réussir à retranscrire à la fois ce qui se joue chez les personnes qui pratiquent le sport en question, mais aussi ce que les spectateurs peuvent ressentir en regardant les performances en question. C’est en réussissant à nous faire ressentir ce double enjeu qu’un manga du genre peut réussir à aller plus loin et devenir un chef d’oeuvre. Et si à mes yeux Slam Dunk reste pour le moment mon modèle en la matière, Suzuki et sa femme ont brillamment réussi à s’approprier le genre pour en proposer une vision très personnelle, passionnante et émotionnellement puissante.
En conclusion
Ainsi, j’ai tendance à trouver que le manga sportif, tout comme le manga de bagarre, permet d’exploiter totalement le potentiel expressif de ce support. Car au-delà de l’importance de l’écriture dans l’engagement émotionnel du lectorat, qui n’est clairement pas à négliger, c’est vraiment par la mise en scène que les choses les plus importantes passent.
Et Blizzard Axel est une représentation assez parfaite de cet aspect, arrivant à retranscrire la tonalité émotionnelle de chaque numéro sur la glace, par un travail sur l’expressivité des personnages (que ce soit dans les visages ou les mouvements des corps), par des postures impactantes et un découpage et une scénographie qui s’adaptent aux différents numéros et à ce qu’ils doivent retranscrire.
Mais en plus, le titre dépasse dès son premier chapitre son postulat d’exercice de style, en imposant un personnage principal aux problématiques particulièrement intéressantes, traitées avec soin et intelligence. Et si le tout verse volontiers dans un certain excès, qui pourrait presque être qualifié de propre au genre, le mangaka a suffisamment bien travaillé cet aspect pour qu’il s’intègre de façon naturelle à une ambiance et un ton global, sans en dénaturer la puissance expressive.
Ainsi, Blizzard Axel s’impose au fil des volumes comme une lettre d’amour au patinage artistique, mais aussi (et surtout) au manga et à tous les modes d’expression qui permettent de faire passer des idées et des émotions. Et aucun aspect du titre prend le dessus sur un autre. Au contraire, ils se nourrissent mutuellement afin de maximiser l’impact et la qualité de rendu de chacun, permettant ainsi au lectorat d’être marqué en fin de parcours de la même façon que les gens qui ont côtoyé Fubuki Kitazato ont été marqué à son contact. Le signe selon moi d’une oeuvre de grande qualité, par un auteur de grand talent.
Encore un angle d’attaque original !
Pour ma part, c’est juste l’aspect sportif et les compositions qui m’attirent pour le moment, mais je ne demande qu’à être convaincue 😁
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Honnêtement, si tu aimes les mangas de sport pour les ingrédients habituels qu’ils ont, je pense que la serie a déjà largement de quoi te contenter. Elle applique déjà avec soin une formule classique, mais elle propose aussi un petit quelque chose en plus.
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Et ce n’est jamais négligeable d’avoir ce petit truc qui distingue des autres 🙂
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Ah et j’en profite pour te signaler mon article sur Touch d’Adachi, une comédie romantique et sportive, qui est pour moi un titre culte. Vu que tu es friand de ces genres, je me dis que ça peut te plaire 😉
https://lesblablasdetachan.wordpress.com/2022/01/25/touch-theo-ou-la-batte-de-la-victoire-de-mitsuru-adachi
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Je vais aller voir, par contre c’est un titre trouvable ou pas trop ? Car j’ai cru comprendre que Adachi était pas trop réimprimé 😅
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Je crains que ça doive passer par les médiathèque car ça fait bien longtemps que je ne l’ai pas vu en librairie. Mais c’est chez Glénat et il me semble avoir lu qu’ils souhaitaient remettre l’auteur en avant.
Edit : Après vérif pas mal de tomes sont quand même dispo en neuf sur un certain site de vente en ligne ^^
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J’ai justement laissé un commentaire en disant que j’avais vu H2 dans une mediatheque, du coup cette série est du domaine de l’envisageable.
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Je te souhaite de la découvrir cette année alors 😀
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C’est donc ça le manga que dons je te vois sans cesse parler sur twitter depuis quelques temps.
Et ben je voulais te dire bravo, vous êtes fort monsieur. Ton article me donne plus qu’envie de le lire.
Bien que je ne sois pas un très grand fan de Seven Deadly Sins, je reconnais ses qualités de terme de dessin, et rien que les 2 dernières planches que tu as mis dans l’article le prouve
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J’espère que tu auras l’occasion de tester dans ce cas, et je suis ravi de voir que j’ai ferré un nouveau poisson, mouhaha !
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[…] Axel, ça m’avait fait pareil, je l’ai chroniqué au tome 🙂 tome 1 et lui sur la série (je n’ai pas encore eu le temps de lire mais j’ai lu les […]
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Salut,
Je vais le lire maintenant, souvent ils sont longs et en semaine j’ai encore moins le temps
Ravie que tu aies aimé et moi aussi j’ai beaucoup aimé (pour le coup je me répète)
Oh c’est classe et cool de la part de Nobi Nobi, du coup tu leur as demandé si c’était possible ?
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Oui, on a des très bons rapports avec Pika, nobi nobi et H2T, et je leur ai demandé s’ils en avaient de côté, avec l’actualité de l’auteur et des choses que j’aimerai écrire autour de nobi nobi, et du coup ils ont pu me les envoyer. Il y avait seulement le 1e tome qui était indispo, mais acheter un seul tome sur une série de 6, c’est vraiment pas grand chose, ce serait malvenu de s’en plaindre.
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Tu as de la chance surtout que j’ai pas mal de séries avec eux, et avec H2T ça permet de s’ouvrir à encore plus de choses.
Clairement.
Mais du coup pour différentes raisons moi j’ai une très mauvaise image d’eux.
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J’ai souvent vu passer des critiques les concernant sur les RS, mais pour être honnête, je suis très satisfait de ce que propose Pika et affiliés.
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Ils proposent de belles séries, j’en ai pas mal chez eux. Et il y en a que j’aimerai découvrir.
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J’avais dit à propos de « Tetsu & Doberman » que pour moi, une bonne durée concernant les séries courtes en manga se situe entre quelque chose comme quatre, six, ou au moins huit tomes.
Et avec cette réédition de « Blizzard Axel » compilant les onze tomes d’origine en six volumes, je trouve que ce dernier entre bien dans cette fourchette.
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Oui, pour le coup la durée permet d’avoir quelque chose de suffisamment dense, sans sombrer dans la redondance.
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On peut dire que ça a été un sacré coup de cœur de ton côté, et ça fait toujours plaisir de lire une critique qui détaille ce qui a plu et ressentir cette accroche si particulière que peut avoir une œuvre. Je ne savais pas du tout que l’auteur œuvrait exclusivement avec sa femme, en lieu et place d’assistants, comme quoi ! J’espère que ses autres œuvres te plairont autant. J’ai eu du mal avec la fin de Seven Deadly Sins (j’avais la sensation que ça tirait en longueur) et sa suite ne m’a pas emballé (je regarde les chapitres en diagonale par curiosité).
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Pour le coup, les 6 premiers tomes de SDS m’ont vraiment emballé. Je les ai jusqu’au tome 13, il me semble que c’est la fin d’un grand cycle, donc je pense lire tout ça, et ensuite j’essaierai de me procurer le cycle suivant pour l’enchaîner.
Et en parallèle je lirai Four Knights of Apocalypse.
Merci beaucoup pour ton commentaire, je suis ravi si mon enthousiasme transparaît dans l’article !
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