Les mots d’auteur #19

Nouvelle salve de mots d’auteur, ENFIN !

Je crois que je l’ai déjà expliqué, mais ma flemme légendaire fait que j’ai beaucoup de mal à être régulier dans cette rubrique, tout simplement car on m’envoie des mots, et ça c’est cool, sauf que je finis par les perdre dans mes fichiers avec le temps, du coup je repousse la rédaction de chaque numéro, et entre temps on m’a envoyé d’autres mots… que je perd aussi ! Comme quoi, la procrastination est un fléau. Cependant, je remercie Vagabond et Ly pour avoir pris le temps de m’envoyer quelques mots… dont certains qui ont du s’échouer en route je ne sais où, mais on va les retrouver (ou alors je compte sur vous pour oublier que vous me les avez envoyés !)

Quoi qu’il en soit, j’ai enfin vaincu ma flemme et je vous propose rapidement quelques mots !


Ken Wakui dans Tokyo Revengers
Proposé par Vagabond

Ce mot m’a tout de suite évoqué la réplique de Predator : « T’as pas une gueule de porte bonheur », ne me demandez pas pourquoi.

Sachez cependant que si vous n’avez pas vu le film en question, il serait temps d’y songer car c’est un chef d’oeuvre absolu selon moi, comme une grosse partie de la filmo de John Mc Tiernan.

Cela m’évoque également une question importante : Suis-je le seul à éprouver à la fois fascination et dégout concernant les espèces qui vivent dans la mer ?


Hiro Mashima dans Edens Zero

Oui, je sais, je fous du Mashima partout et tout le temps, je suis relou. Mais quand même, parfois c’est intéressant d’en parler ! L’auteur a la qualité d’être très bavard sur son travail, faisant en plus de ces mots des postfaces parfois passionnantes.

Le mot qui nous intéresse ici m’a particulièrement plu car il rappelle une critique récurrente à son encontre, le fameux « wé le mec il recycle tout le temps ses personnages d’une série à l’autre »… Mais il le sait et le fait volontairement bougre de vous !

Je pense que dans les faits, cette critique vient de gens qui veulent juste taper sur Mashima car en soi, tout le monde s’en fout de ce genre de procédé en manga, sauf quand il s’agit des auteurs qu’on n’aime pas… Y aurait-il de la mauvaise foi là-dessous ? (oui !)

Par contre le personnage d’Erzy ne dégage pas le même charme que Erza, faut pas déconner !


Wataru Nadatani dans La Gameuse et son chat
Proposé par Ly

Merci à toi Ly, d’avoir retenu qu’à partir du moment où il est question d’animal dans un mot d’auteur, je suis preneur !

Encore une fois, on voit que les animaux font vraiment du bien aux mangakas qui sont contraint de passer leur vie dans leur atelier, au moins ils leur donnent un peu d’animation, ainsi qu’un prétexte pour sortir quand il s’agit de chiens.

Et évidemment, je ne doute pas que les chats, en s’asseillant sur les dessins ou autres, causent parfois des dégâts !


Mizuho Kusanagi dans Yona Princesse de l’aube
Proposé par Ly

Allez hop, 4 d’un coup comme ça c’est réglé ! Quel escroc ce Pierrick !
Yona est un manga qui m’intéresse beaucoup mais avec plus de 30 tomes, il vaut mieux s’abstenir je pense. Si j’ai bien compris, le petit écureuil qu’on voit sur chaque illustration est en quelque sorte la mascotte de la série, qui fait des petites apparitions dans les cases du manga.


C’est fini pour aujourd’hui, on va essayer de se retrouver dans deux semaines pour une nouvelle salve, mais je ne vous promet rien, car je ne suis pas un homme de parole. Déso !

14 commentaires

Laisser un commentaire

Ce site utilise Akismet pour réduire les indésirables. En savoir plus sur la façon dont les données de vos commentaires sont traitées.